Parce que pour beaucoup, le lundi est synonyme de retour au boulot , « le billet du lundi » a pour seule ambition, d’apporter un peu de couleur venue d’ailleurs, de faire découvrir les cocasses anecdotes de notre cousin l’Humain…

Nous sommes le 42ème lundi de l’année, et aujourd’hui c’est à nos cousins néo-zélandais que nous nous intéressons:

Il n’y a pas de petit combat pour lutter contre le réchauffement climatique. La Nouvelle-Zélande qui compte, à elle seule, près de 30 millions de moutons, l’a bien compris . Des chercheurs ont réussi à diminuer de 10% les rots et les flatulences des moutons. Une bonne nouvelle pour lutter contre le réchauffement car ces ruminants rejettent ainsi moins de méthane, un puissant gaz à effet de serre, dans l’air.

Pour obtenir ce résultat, les scientifiques ont opéré une sélection parmi les animaux. Les moutons ont été séparés en deux groupes. Ceux relâchant le moins de méthane se sont accouplés entre eux.

Aujourd’hui, la troisième génération de brebis et de béliers voit le jour. Les chercheurs estiment que le fait de péter et de roter est un trait héréditaire à 20%. Par ailleurs, ces moutons « écolos » sont un peu plus maigres que les autres et produisent un peu plus de laine.

Reste plus qu’à déployer cette expérience aux vaches et à certains de nos contemporains, et la couche d’ozone se portera bien mieux!

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